Slam :
J’en ai marre !
Je
me demande pourquoi tu n’arrêtes pas de me suivre
Parfois
j’ai le désir d’aller loin de chez moi pour y vivre
Tu
sors de n’importe où pour semer la panique
Pour
rendre la vie des mortels si critique
Tu
n’as carrément nulle honte quand tu embrouilles les gens
On
dirait que tu les guettes comme un vil sergent
Avec
une insolence cynique et avec ton allure traitresse.
Tandis
que tout le monde cherche à te combattre sans cesse
Toi,
tu cherches toujours à te propager avec prouesse
Et
moi qui te hais sans réserve, je ressens l’envie furieuse de te
jeter un sortilège
Qui
va te consumer complètement et t’anéantir à cause de ton œuvre
sacrilège
Afin
qu’elle soit rendue vaine et que le monde échappe à tes crimes.
Par
ta faute nous avons vu en effet avec amertume tant de victimes !
Que
tu n’as nullement ménagé et envers qui tu as agi sans aucune
estime.
Combien
de familles as-tu endeuillées précipitamment et sournoisement sans
considération ?
Regarde
comment ça ne te dit rien tout ce mal que tu as causé dans cette
ambiance de perdition
Et
tu continues à nous marcher dessus avec banalité
Et
malgré nos cris, nos pleurs et nos larmes, tu veux jouer au héros
Alors
que nous ne te considérons que comme un zéro
Parce
que désormais nous allons vraiment te réduire en zéro pointé
Un
zéro qui ne sera plus aux yeux de tous qu’une tristesse révolue
Désormais,
tu ne seras plus qu’une réminiscence à jamais dissolue
Car
le combat que tu as tant mené ne sera à tout jamais pour toi qu’une
souffrance
Oui !
Nous sommes désormais prêts à t’affronter sans concession
A
te vaincre, que dis-je, à te laminer sans compassion
Tu
es donc prévenue discourtoise fièvre Ebola !
Nous
sommes maintenant les boucliers définitifs du holà :
Parce
que nous en avons à tout jamais marre de toi.
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